Non classé – anciens-sciencesporennes.net http://www.anciens-sciencesporennes.net Le site sur les écoles, la formation scolaire Tue, 11 Nov 2025 07:04:13 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 http://www.anciens-sciencesporennes.net/wp-content/uploads/2025/05/cropped-favicon-32x32.png Non classé – anciens-sciencesporennes.net http://www.anciens-sciencesporennes.net 32 32 Études et retraite : pourquoi bien choisir sa formation change tout pour l’avenir http://www.anciens-sciencesporennes.net/etudes-et-retraite-pourquoi-bien-choisir-sa-formation-change-tout-pour-lavenir/ http://www.anciens-sciencesporennes.net/etudes-et-retraite-pourquoi-bien-choisir-sa-formation-change-tout-pour-lavenir/#respond Tue, 11 Nov 2025 06:20:35 +0000 http://www.anciens-sciencesporennes.net/etudes-et-retraite-pourquoi-bien-choisir-sa-formation-change-tout-pour-lavenir/ On ne s’en rend pas toujours compte à 18 ans, mais le choix des études, c’est un peu la première grande décision financière de sa vie. Pas seulement parce qu’elle coûte cher (logement, transport, frais d’inscription…), mais surtout parce qu’elle conditionne la suite : ton premier job, ton évolution pro, et – surprise – même ta retraite. Oui, vraiment.

Franchement, qui pense à sa retraite quand il choisit sa licence ou son école ? Personne (et c’est normal). Pourtant, les écarts de pension entre deux diplômés peuvent être énormes. J’ai découvert récemment sur https://formation-retraite.fr que les différences de carrière, de statut ou même de périodes de chômage jouaient un rôle clé dans le calcul final. Et devine quoi ? Tout ça commence… au moment du choix de ta formation.

Un bon choix d’études, c’est une carrière plus stable (et donc une retraite mieux assurée)

Quand tu regardes les chiffres, c’est flagrant : selon l’INSEE, les diplômés du supérieur gagnent en moyenne 1,7 fois plus sur leur carrière que ceux sans diplôme. Et qui dit meilleurs revenus dit cotisations plus élevées, donc retraite plus confortable. Mais ce n’est pas qu’une question de salaire : les études bien choisies mènent souvent à des métiers plus stables, moins sujets à des périodes creuses. Et la stabilité, ça pèse lourd dans le calcul des trimestres validés.

Je me souviens d’une amie partie en licence de psycho un peu « par défaut ». Trois ans plus tard, elle a tout repris à zéro en école d’éducateur. Aujourd’hui, elle adore ce qu’elle fait, mais elle a perdu du temps (et quelques trimestres de cotisation au passage). Moralité : mieux vaut prendre quelques mois pour réfléchir à son projet que plusieurs années pour se réorienter.

Des formations qui ouvrent les bonnes portes

On dit souvent que “toutes les études mènent à quelque chose”. C’est vrai… mais pas toujours à la même chose. Certaines filières, comme les écoles d’ingénieurs, les IEP (dont Sciences Po Rennes évidemment !) ou les formations paramédicales, mènent à des métiers où la carrière est claire et l’évolution possible. D’autres, plus généralistes, demandent un peu plus de débrouillardise pour trouver sa voie. Rien de grave, mais ça change tout en termes de progression salariale.

Et puis, il y a la fameuse question du statut : fonctionnaire, salarié du privé, indépendant… Chacun a ses règles de cotisation. Par exemple, un enseignant titulaire sait exactement à quoi s’attendre à la retraite, alors qu’un consultant freelance doit souvent jongler entre plusieurs caisses. Choisir une formation, c’est aussi, quelque part, choisir un futur cadre de vie.

Réfléchir à long terme (sans se prendre la tête non plus)

Pas besoin de se transformer en expert en retraite à 20 ans, évidemment. Mais comprendre comment fonctionne le système, et savoir que chaque choix d’étude a des conséquences concrètes sur le long terme, c’est déjà un super pouvoir. Tu veux un métier à impact ? Très bien. Mais regarde aussi la sécurité qu’il offre, la reconnaissance, les possibilités d’évolution. Tout ça compte.

Et si tu veux creuser le lien entre formation, emploi et retraite, il existe des simulateurs, des fiches métiers, et des sites très bien faits pour ça (celui cité plus haut en est un bon exemple). C’est pas du temps perdu, loin de là.

En résumé

Bien choisir sa formation, ce n’est pas juste cocher une case sur Parcoursup. C’est construire la base de ton avenir, professionnel et personnel. On parle souvent de passion, de vocation, d’équilibre… mais rarement de stabilité et de projection à long terme. Pourtant, les deux vont ensemble. Et honnêtement, mieux vaut un choix réfléchi qu’un “on verra bien” – parce que le “on verra bien” finit souvent par rattraper, tôt ou tard.

Alors, si tu es en pleine réflexion, pose-toi les bonnes questions : qu’est-ce que j’aime ? Oui. Mais aussi : qu’est-ce que ça m’apportera dans 30 ans ? Ton futur toi te dira merci.

]]>
http://www.anciens-sciencesporennes.net/etudes-et-retraite-pourquoi-bien-choisir-sa-formation-change-tout-pour-lavenir/feed/ 0
Top 7 des métiers qui recrutent après une formation courte http://www.anciens-sciencesporennes.net/top-7-des-metiers-qui-recrutent-apres-une-formation-courte/ http://www.anciens-sciencesporennes.net/top-7-des-metiers-qui-recrutent-apres-une-formation-courte/#respond Tue, 11 Nov 2025 06:17:02 +0000 http://www.anciens-sciencesporennes.net/top-7-des-metiers-qui-recrutent-apres-une-formation-courte/ On a souvent l’impression qu’il faut passer cinq ans sur les bancs de la fac pour décrocher un job stable. Franchement, c’est faux. Aujourd’hui, plein de métiers recrutent après une formation courte – parfois en moins d’un an ! Et certains payent même mieux que des postes accessibles avec un master. Si tu veux te reconvertir, te lancer vite dans la vie active ou juste éviter les études à rallonge, ce top est pour toi.

Avant de foncer tête baissée, prends quand même le temps de jeter un œil à des plateformes qui répertorient des formations rapides et reconnues – par exemple https://formationrapide.net qui aide pas mal à repérer celles qui débouchent vraiment sur un emploi. Parce que oui, toutes les formations ne se valent pas.

1. Technicien(ne) en maintenance informatique

Ordinateurs, serveurs, imprimantes, réseaux… tout tombe en panne un jour. Et sans les techniciens, c’est vite la panique dans les entreprises. En général, un Titre Pro ou un BTS en informatique suffit pour démarrer, et certains centres de formation proposent des cursus intensifs de 6 à 9 mois. Perso, j’ai rencontré un ancien barman reconverti dans ce métier – aujourd’hui, il bosse dans une PME à Nantes et gagne bien sa vie. Pas mal pour un virage express.

2. Assistant(e) médical(e)

Avec la pénurie de personnel dans les cabinets et hôpitaux, c’est un métier qui explose. On peut se former en moins d’un an, parfois même en alternance. Tu apprends à gérer les rendez-vous, assister le médecin, accueillir les patients. Ce qui est top ? C’est concret, humain, et les débouchés sont partout, même dans les petites villes.

3. Électricien(ne) du bâtiment

C’est un peu le retour des métiers manuels – et franchement, ça fait du bien. L’électricité, c’est technique, physique parfois, mais hyper recherché. Une formation de 6 à 12 mois suffit pour être opérationnel. Et si tu te débrouilles bien, tu peux vite te mettre à ton compte. Les chantiers ne manquent pas, surtout avec la rénovation énergétique en plein boom.

4. Agent immobilier

Oui, on peut bosser dans l’immobilier sans faire d’école de commerce ! Certains centres proposent des formations de quelques mois pour apprendre la prospection, la vente, la législation… Ce qui compte, c’est ton bagout et ton sens du contact. Un pote m’a dit un jour : « Si tu sais écouter les gens et que tu connais bien ton quartier, tu peux faire ton trou ». Et il n’a pas tort.

5. Développeur web junior

C’est peut-être le plus connu des métiers “courts” du moment. Des écoles comme la 3W Academy ou Simplon forment en quelques mois à coder des sites, des applis, des outils pros. Tu sors de là avec un vrai bagage concret et, souvent, un job à la clé. Il faut aimer résoudre des problèmes et passer des heures à chercher pourquoi ce fichu bug ne disparaît pas. Mais quand tu vois ton site en ligne, ça vaut largement la peine.

6. Aide-soignant(e)

C’est un métier exigeant, mais incroyablement utile. En moins d’un an de formation, tu peux intégrer un hôpital, une maison de retraite ou un service à domicile. Les besoins sont énormes partout en France. Si tu as le sens du contact et de l’écoute, c’est une voie qui a vraiment du sens. Et dans certains cas, tu peux évoluer vers infirmier ou encadrant après quelques années d’expérience.

7. Conducteur(trice) de transport / chauffeur poids lourd

On ne s’en rend pas toujours compte, mais tout ce qu’on consomme – du pain au smartphone – est passé par un camion. Et les chauffeurs manquent à l’appel ! Une formation de 3 à 6 mois suffit pour obtenir le permis poids lourd et démarrer. Les entreprises de logistique recrutent à tour de bras. C’est un métier qui demande de l’endurance, oui, mais la liberté sur la route a aussi son charme. Tu roules, tu vois du pays, tu gagnes bien ta vie. Pourquoi pas ?

En résumé

Pas besoin d’un bac+5 pour trouver un métier qui recrute et qui a du sens. Ces formations courtes sont une vraie porte d’entrée vers l’emploi, surtout si tu veux changer de voie rapidement. Alors, tu te lances dans laquelle ? Parce qu’au final, le plus dur, c’est souvent de faire le premier pas.

]]>
http://www.anciens-sciencesporennes.net/top-7-des-metiers-qui-recrutent-apres-une-formation-courte/feed/ 0
Écoles de commerce, d’ingénieurs ou spécialisées : que choisir après un bac général ? http://www.anciens-sciencesporennes.net/ecoles-de-commerce-dingenieurs-ou-specialisees-que-choisir-apres-un-bac-general/ http://www.anciens-sciencesporennes.net/ecoles-de-commerce-dingenieurs-ou-specialisees-que-choisir-apres-un-bac-general/#respond Mon, 14 Jul 2025 13:01:30 +0000 http://www.anciens-sciencesporennes.net/ecoles-de-commerce-dingenieurs-ou-specialisees-que-choisir-apres-un-bac-general/ Tu viens d’avoir ton bac général ? Bravo. Et maintenant… ?

Bon, soyons honnêtes : la terminale, c’est déjà un gros morceau. Mais une fois le bac en poche, c’est pas fini. C’est même là que tout commence. Parce qu’entre les écoles de commerce, les écoles d’ingénieurs, les formations spécialisées (design, communication, sport, agro, etc.), faut bien faire un choix. Et parfois, on a l’impression qu’il faut savoir à 18 ans ce qu’on veut faire à 40. C’est un peu violent, non ?

Alors, on va t’aider à y voir clair. Pas de jargon, pas de discours pompeux. Juste des infos concrètes, des ressentis, et quelques repères utiles pour décider en toute conscience. Parce qu’il y a plein de bonnes options… mais elles ne se valent pas toutes pour tout le monde.

Ah, et si tu veux un coup d’œil global sur les types d’écoles post-bac, ce site est super bien fichu : https://www.uneecole-votreavenir.org. Franchement, ça donne un bon panorama sans bullshit.

École de commerce : bonne idée ou mirage marketing ?

Tu vois ces écoles où on parle « management », « stratégie », « finance », « marketing digital » et compagnie ? C’est ça, une école de commerce. Si t’aimes les projets, travailler en équipe, pitcher des idées ou comprendre comment fonctionne une entreprise de l’intérieur, c’est une voie qui peut te plaire.

Le truc, c’est qu’il y a de tout. De l’école hyper cotée à 15 000 € l’année, avec campus à l’américaine et partenariats à l’international, jusqu’à la petite école régionale un peu paumée mais très terrain. Alors fais gaffe : le nom ne fait pas tout. Renseigne-toi sur les accréditations (genre AACSB, AMBA), les classements, les stages proposés.

Perso, j’ai une pote qui est entrée à l’EM Normandie après un bac général, elle kiffe parce qu’elle bouge tout le temps (elle part à Dublin l’an prochain) et elle a fait un stage chez Decathlon. Mais un autre ami, lui, a regretté son école post-bac à Bordeaux : pas assez de débouchés concrets, et des profs pas toujours très investis.

École d’ingénieurs : pas que pour les cracks en maths

Si t’as fait une spé maths ou physique et que tu t’en sors bien, l’ingénierie peut vraiment t’ouvrir des portes. Et pas que pour bosser dans le bâtiment ou l’aéronautique hein. Aujourd’hui, les ingénieurs bossent dans l’IA, la transition écologique, les transports, la santé… c’est ultra large.

Ce que j’ai appris en discutant avec des anciens : les écoles d’ingé post-bac (comme l’INSA, l’UTC, Polytech, etc.) sont souvent plus progressives que les prépas. Tu rentres direct dans le concret, avec des projets, des stages, un rythme intense mais humain. Et si t’aimes résoudre des problèmes, bricoler des solutions, penser « systèmes », ça peut vraiment te correspondre.

Mais attention : faut quand même aimer les sciences, c’est clair. Sinon, tu risques de souffrir.

Formations spécialisées : une voie directe, mais pas sans risque

Design graphique, jeux vidéo, communication, journalisme, cinéma, paramédical, social… Ces formations ont un truc en commun : elles te plongent direct dans un domaine précis. T’apprends un vrai métier, souvent en petit effectif, avec des intervenants pros.

Et ça peut être génial. Une étudiante que j’ai rencontrée à LISAA Paris m’a raconté son projet de fin d’année : créer une identité visuelle complète pour une asso. Elle était à fond. Mais faut savoir que ces écoles sont parfois privées, chères, et pas toujours reconnues. Regarde les titres RNCP, les débouchés, les taux d’insertion pro. Et surtout, interroge-toi : est-ce que je suis prêt à me spécialiser tout de suite ?

C’est une vraie question. Parce qu’à 18 ans, on n’a pas tous la même maturité ou la même clarté d’esprit. Et c’est OK.

Et Parcoursup là-dedans ?

Bah oui, évidemment, tout ça passe (souvent) par Parcoursup. Et c’est là que ça devient sport : les vœux multiples, les sous-vœux, les réponses en vague… Un vrai Tetris mental.

L’astuce ? Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Mélange les types de formations : une école de commerce post-bac, une licence éco-gestion à la fac, une prépa ECG… Tu verras ce qui te répond. Et surtout, n’oublie pas que le choix ne se joue pas uniquement à 18 ans. Tu pourras toujours te réorienter. Vraiment.

Alors, que choisir ?

Y a pas de bonne réponse universelle. L’école parfaite n’existe pas. Mais y a une formation qui TE correspond mieux qu’une autre, en fonction de tes envies, de ton énergie, de ton caractère.

Tu veux un parcours concret, professionnalisant et un peu fun ? Regarde du côté des écoles de commerce post-bac.
Tu préfères creuser, comprendre, construire et résoudre ? Une école d’ingé pourrait être une super base.
Tu sais déjà ce que tu veux (et tu fonces) ? Une école spécialisée peut être top… mais renseigne-toi bien.

Et surtout, pose-toi cette question : *qu’est-ce qui me ferait lever le matin avec envie ?*

Parce qu’au final, c’est ça qui compte. Le reste, franchement, ça se construit.

]]>
http://www.anciens-sciencesporennes.net/ecoles-de-commerce-dingenieurs-ou-specialisees-que-choisir-apres-un-bac-general/feed/ 0
Études de droit ou Sciences Po : que choisir après le bac ? http://www.anciens-sciencesporennes.net/etudes-de-droit-ou-sciences-po-que-choisir-apres-le-bac/ http://www.anciens-sciencesporennes.net/etudes-de-droit-ou-sciences-po-que-choisir-apres-le-bac/#respond Wed, 28 May 2025 17:43:31 +0000 http://www.anciens-sciencesporennes.net/etudes-de-droit-ou-sciences-po-que-choisir-apres-le-bac/ Tu viens d’avoir ton bac en poche ou tu es en terminale, et là, LA question qui débarque en force : je pars en droit ou je tente Sciences Po ? Franchement, t’es pas le seul à te la poser. Chaque année, des milliers de lycéens galèrent à trancher. Et c’est normal. Ces deux voies ont chacune leur charme, leurs codes, et surtout… des réalités bien différentes.

Sciences Po : un cocktail de disciplines et une ouverture sur le monde

Si t’aimes toucher à tout, Sciences Po peut te faire vibrer. C’est pas juste de la science politique, comme on l’entend souvent. Tu bouffes de l’économie, du droit, de la socio, de l’histoire, des langues… et t’as même des cours de méthodo ou des ateliers pro. Un vrai patchwork intellectuel.

Perso, ce qui m’a bluffé, c’est le rythme. Une pote à moi à Rennes me racontait qu’entre les exposés, les dossiers de groupe, les conférences, les stages à dénicher… t’as pas trop le temps de t’ennuyer. C’est intense, mais stimulant.

Et puis, y’a cette fameuse 3e année à l’étranger. T’imagines ? Un an à Madrid, Montréal ou Tokyo. Ça te forme autant perso que pro.

Le droit : précis, structurant, un tremplin vers mille métiers

Maintenant, parlons droit. C’est carré, codifié, ultra structuré. Et là, faut être honnête : si t’aimes pas ficher, apprendre par cœur, te taper des arrêts de la Cour de cassation à la chaîne… tu vas souffrir. Mais si t’as l’esprit rigoureux, que t’adores comprendre les règles du jeu (et les contourner parfois, soyons francs), c’est une filière passionnante.

Le gros plus ? C’est clair : la licence de droit ouvre plein de portes. Magistrature, avocat, RH, journalisme, assurance, fiscalité, droit des affaires… C’est un couteau suisse, cette filière. Et même si t’arrêtes après trois ans, t’es loin d’être à la rue.

Et côté débouchés, ça donne quoi ?

Alors là, on va pas tourner autour du pot. Sciences Po, c’est le graal pour ceux qui visent des carrières dans la haute fonction publique, les institutions internationales, le consulting, la diplomatie, ou les médias. Mais attention : le réseau joue un rôle énorme. Et tout le monde ne finit pas ambassadeur ou chef de cabinet.

Le droit, lui, te mène plus naturellement vers des métiers juridiques “classiques”, mais ultra demandés. Et si tu poursuis jusqu’au master (voire plus), t’as toutes les cartes pour briller dans le privé ou le public. En fait, c’est plus balisé.

Tu veux de la théorie ou du concret ?

Voilà une vraie question à te poser. Sciences Po, c’est beaucoup de concepts, d’analyses, de discussions. On t’apprend à problématiser, argumenter, débattre. Tu passes ta vie à remettre en question le monde.

En droit, on t’apprend à appliquer, à raisonner avec méthode. C’est parfois aride, mais t’as des bases solides, utiles dans plein de contextes.

Tu préfères penser le monde ou le réguler ? La réponse peut t’aider à y voir plus clair.

Et Parcoursup dans tout ça ?

Eh oui, faut en parler. Sciences Po, c’est concours (même si l’épreuve a évolué), dossier béton, et souvent entretien. C’est sélectif, faut pas se rater. Le droit, c’est sur Parcoursup classique. Moins de pression à l’entrée, mais une vraie sélection par l’échec en L1. Les amphis de 500, les TD le soir, la charge de taf… ça en épuise plus d’un.

Alors, on choisit quoi ?

Y’a pas de réponse unique, désolé. Mais pose-toi ces questions : t’as envie d’un cadre structurant ou d’un enseignement pluridisciplinaire ? Tu veux une licence professionnalisante dès la L3, ou tu préfères construire ton projet au fil des années ? Tu vises une carrière française ou internationale ?

Et surtout, tu t’imagines où dans cinq ans ? En train de plaider ? De débattre dans un amphi ? De bosser dans une ONG à l’autre bout du monde ?

Fais le test mental. Imagine-toi dans chaque univers. Et écoute ton instinct. Il a souvent raison.

Et si tu hésites encore ?

Petite astuce : pourquoi ne pas tenter les deux ? Tu peux très bien t’inscrire en droit à la fac et préparer Sciences Po en parallèle. C’est chaud, mais certains y arrivent. Et puis, sache que même après Sciences Po, tu peux te spécialiser en droit. Et inversement, des étudiants en droit intègrent des IEP en master.

Rien n’est figé. L’essentiel, c’est de choisir un point de départ qui te motive vraiment. Le reste, tu l’ajusteras en route.

Allez, courage pour ce grand choix. Et surtout : choisis pour toi, pas pour cocher une case ou faire plaisir à un conseiller d’orientation un peu paumé.

Et toi, t’as déjà une idée ? Sciences Po ou droit ? Dis-le franchement.

]]>
http://www.anciens-sciencesporennes.net/etudes-de-droit-ou-sciences-po-que-choisir-apres-le-bac/feed/ 0